Originaire de Brighton et membre du passionnant et prolifique collectif folk Willkommen (The Leisure Society, Rozi Plain…) Danny Green forme le groupe Laish en 2008.
Et comme souvent, lorsqu’il s’agit de pop lumineuse et aventureuse, c’est Talitres qui a flairé le bon coup en s’offrant la signature du britannique. Après un premier album éponyme en 2010 puis Obituaries il y a trois ans, Laish fait désormais figure de valeur sûre, voire de surprise gracieuse quand on écoute le Pendulum Swing sorti en 2016.
En solo ou en groupe, Laish a foulé les planches de nombreuses et prestigieuses salles anglaises (The Union Chapel, The Roundhouse…) et assuré les premières parties de Grizzly Bear, Beach House, Martha Wainwright, et bien d’autres encore.
C’est d’abord une voix, au grain harmonieux et charismatique. C’est aussi des chansons qui tirent leur force de mélodies évocatrices, à la finesse addictive, c'est une écriture façon “sad ballad” d’une fluidité étonnante, d'une voix chaleureuse qui a un peu le grain de Stuart Murdoch et des compositions lorgnant vers Lee Hazlewood, le Townes Van Zandt de « St John the Gambler » ou le Nick Drake de « Cello song ». C’est par le passé, l’album de 3 guys never in, ou Udolpho et Ophelia avec le violoncelliste Ben Jarry. C’est aujourd’hui ce nouvel album : “The Offshore Pirate”, accompagné de Ben Jarry et Nico Brusq : 10 nouveaux titres qui se distinguent sans effort et sans fard, par une sensibilité et une sincérité renouvelée.
+ Vente de gâteaux et de boissons (miam miam glouglou !)